Résumé :
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Voici une démarche peu banale : publier une étude sans concession dédiée à Eduardo Arroyo, enfant terrible de la « figuration narrative », rédigée au milieu des années soixante par Michel Sager.
Eduardo Arroyo, né sous la dictature du général Franco, choisit très tôt lexil à Paris où il déploie une peinture violente et révoltée que Sager analyse sans mansuétude. Cette plume acérée nous convie de façon peu conventionnelle à découvrir au coeur d'une période tourmentée les premières toiles dArroyo, ce touche-à-tout qui depuis 50 ans pratique la peinture à lhuile, une technique en voie de disparition selon lui, sans délaisser lécriture, sa vocation initiale.
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